Love you, Allways

À la dame derrière moi, revenant tout juste de Paris et me demandant pourquoi un français peut envisager de s’installer à la nouvelle Orléans, j’ai répondu: “pour ça!” faisant un signe embrassant la salle principale du Always Lounge devant nous, en contrebas de la petite estrade sur laquelle nous étions assis.

C’était ma seconde fois à la “New Orleans High Society Hour” et la qualité du show était toute aussi bonne qu’il y a quelques mois.

Je ne sais pas bien décrire ce qui en fait la magie, je crois que Angie et son Jazz band réussissent à exploiter tous les clichés du genre, sans pour autant que cela ne semble trop artificiel ou produit.

Le résultat est un de ces moments où je me surprends à penser que je ne connais pas d’autre endroit où cette atmosphère existe. Un de ces souvenirs que je consigne dans mon journal (papier) dans la catégorie « Moments and Highlights ».

(“I Love You, AllWays” est le nom du film sorti cet automne, et qui raconte comment le cabaret a traversé la pandémie de Covid-19)